Parfaitement intégrés au bassin, les volets immergés s’affirment comme une solution esthétique pour sécuriser la piscine.
■ Le choix de l’invisibilité
Lorsque la piscine est ouverte, la présence d’un volet immergé est imperceptible. Dissimulé dans un coffre immergé ou sous des caillebotis, le tablier se fait oublier pour mieux se déployer au moment de sécuriser à nouveau la piscine.
■ Colorées ou translucides
La couleur des lames d’un volet détermine la perception visuelle dont on peut s’en faire. Elles sont, la plupart du temps, en PVC plein, mais, depuis plusieurs saisons, sont apparues des versions en polycarbonate. En partie translucide pour un effet plus esthétique, cette déclinaison de lame produit un effet de serre qui augmente la température de l’eau.
■ Un caillebotis en guise de marche
C’est la seule partie visible du volet en position fermée. Reposant sur une poutrelle, il recouvre le logement de l’axe d’enroulement. Généralement hors d’eau, il peut néanmoins être immergé pour un positionnement plus esthétique et faire office de première marche d’escalier. Les caillebotis sont proposés en PVC (dans une déclinaison de teintes claires), en bois (composite ou massif : ipé ou robinier) mais aussi en métal (inox et aluminium coloré).
■ Une solution pour chaque bassin
Pour une intégration parfaite, le volet peut être dissimulé au niveau du radier (sur ou sous le fond de la piscine), dans les parois, voire sous la banquette ou les escaliers. Dans tous les cas, l’axe d’enroulement est positionné derrière une cloison de séparation, celle-ci pouvant être en PVC ou maçonnée. Le moteur peut également être installé dans un coffre sec, à l’extrémité du bassin, une configuration qui présente l’avantage de ne pas impacter la longueur de nage.